Steve Daniel: entrepreneur, conseiller et aventurier!

Steve Daniel est un jeune entrepreneur québécois qui est également consultant en médias sociaux et un aventurier de la vie. Depuis novembre 2016, il a quitté son emploi pour suivre ses rêves et sa passion de l’entrepreneuriat et du voyage. En plus de développer sa propre marque personnelle (comme conseiller, blogueur et vlogger), Steve Daniel est le fondateur de MTL Promos et il travaille pour Swishlinks, un nouveau réseau social professionnel. Découvrez le parcours de cet entrepreneur dynamiques!

Entrevue avec Steve Daniel :

1- Qu’est-ce qui vous a poussé dans le monde de l’entrepreneuriat et des communications?

Je suis dans ce milieu depuis mon secondaire. Je vendais des t-shirts à l’école et des mixtapes à mes amis, alors j’ai toujours su que je voulais rester dans cet univers pour ma carrière.

 

2-Quand avez-vous fondé l’entreprise MTL Promos et quelle est la mission de cette compagnie?

J’ai fondé cette entreprise en novembre 2015, donc depuis bientôt deux ans. Au départ, ce projet avait pour but de devenir une plateforme pour faire découvrir Montréal. Maintenant, je veux faire en sorte que MTL Promos soit un média qui fait la promotion de la ville de Montréal et ainsi aider les touristes pour leur montrer ce qu’il y a à faire dans cette ville.

 

3- Vous faites aussi partie de l’équipe de Swishlinks. Quel est votre rôle?

Swishlinks est un nouveau réseau social professionnel pour les milléniaux. C’est une compagnie américaine, mais qui a été créée par des Montréalais. L’application a été officiellement lancée en juillet. De mon côté, je devais m’occuper du réseautage au Canada et faire la promotion de l’application.

 

4-Quels sont vos projets pour les prochaines années?

Je veux m’occuper de mon propre branding, soit sortir du contenu sur mes plateformes comme des textes, des vlogs, des vidéos et autres. Je veux aussi continuer à pousser mon projet MTL Promos  vers l’industrie du tourisme.

 

Merci beaucoup Steve Daniel pour cet entretien!

Steve Daniel

Crédit photos: Steve Daniel (Facebook)

Êtes-vous un mouton en affaires ?

En affaires, il est bon de s’inspirer des compétiteurs, cela est même encouragé. Cependant, il ne faut pas perdre en chemin cette petite touche qui nous rend uniques ! Sinon on risque d’être juste un parmi tant d’autres. Comme ces moutons.

J’aimerai que vous vous posiez cette question. Comment puis-je dépasser mes compétiteurs si je fais seulement ce qu’ils font ? Vous y avez assez pensé ? La réponse est bien simple, vous n’y arriverez probablement pas. Et vous, êtes-vous un mouton en affaires ?

Êtes-vous un mouton en affaires :

Quand on fait seulement la même chose que les compétiteurs, on est comme un mouton. Autrement dit, nous ne nous démarquons pas et ne faisons que suivre. Je suis convaincu que vous ne voulez pas être un mouton, mais bien le berger.

Les fameux stylos

On a tous ces nombreux crayons qui traînent quelque part dans un pot chez nous. Peu d’entre eux vont être utilisés. À moins d’être vraiment différent et de qualité ! Je ne dis pas que ce << goody >> est mauvais, mais bien qu’il est surutilisé.

Les stylos sont principalement utilisés par tous dus à son coût très minime. Les gens peuvent en faire des tonnes. De plus, ils sont souvent de basse gamme. Vous pouvez consulter cet article qui en dit long sur ce sujet.

Bref, c’est un outil de base qui ne suffit pas pour se démarquer. Pour se démarquer, il faut être créatif. Il faut arrêter de suivre et prendre de l’avant.

Moins, mais mieux

Cependant, je sais que faire différent peut être couteux. Alors, il vaut mieux cibler les gens à qui l’on va donner les articles promotionnels. Bien connaitre sa clientèle cible est primordial. Même si l’on donne le plus beau morceau de viande à un végétarien, il reste un végétarien.

Dans ce sens, il vaut mieux viser la qualité au lieu de la quantité. Comme cela, on augmente les chances que les gens l’utilisent, et ce pour longtemps. De plus, si vous donnez de la camelote cela peut nuire à votre image auprès des gens.

Certains d’entre vous, chers lecteurs, ont surement pu le vivre récemment. Recevoir un article promotionnel et que ce dernier brise au courant de cette même semaine. Devinez où qu’ils se retrouvent présentement. Oui, vous avez raison, ils sont aux ordures.

Je ne crois pas qu’il soit bien visible à cet emplacement ou même profitable pour l’entreprise.

La différence est gage de succès

êtes-vous un mouton en affaires

Vous vous souvenez peut-être d’un autre article paru qui parlait des six étapes pour un cadeau promotionnel à succès. Je ne m’attarderai pas à ces étapes, car nul ne peut nier qu’un bon article promotionnel se démarque des autres.

Il y a également un autre article qui pourrait vous aider sur ce sujet. Ce dernier parle plus précisément de ce que vous désirez.   

Ce qui rend les articles promotionnels si uniques est justement la versatilité qu’ils nous offrent. Les limites aux possibilités qu’ils existent sont seulement celles qu’on s’impose.

Soyez original

Il y a tellement d’opportunité qui s’offre à vous. Je suis sûr que vous pouvez en voir au moins quatre auprès de vous. Il est possible que vous ne le réalisiez tout simplement pas. Par exemple, un objet aussi simple qu’une chaise dépliante pourrait en être une.

Pourquoi une chaise dépliante ? Je comprends votre questionnement et voici mon raisonnement. Premièrement, les gens les apportent lorsqu’ils vont dans les évènements tels les spectacles ou les fêtes. On parle d’une bonne visibilité à ce moment.

On les utilise également lorsqu’on reçoit de la visite. Par exemple, les soirées entre amis ou même le jour de l’an. Encore une fois une autre bonne visibilité. Il faut également penser qu’il dure bien plus longtemps que de simples stylos.

Faire appel aux experts

On a tous notre domaine d’expertise. On peut être très fort dans son domaine, mais moins bon dans le reste. Il faut savoir accepter les conseils. Les experts du marketing par les articles sont plus à l’affut des nouvelles tendances.

Ils peuvent vous conseiller sur ce qu’il est réaliste et faisable de faire. Ils sont toujours à jour. C’est leur métier après tous.

Voici une petite liste de tendances qui a été publiée. Je vous invite à les consultés, qui sait peut-être que cela vous inspirera pour vos prochains articles promotionnels.

Si vous préférez plus le contact humain et discuté de vos projets directement avec un professionnel sympathique, voici les coordonnées de productions-extrême.

Conclusion sur êtes-vous un mouton en affaires

J’espère que cet article a pu vous aider et vous encourager à utiliser des outils différents. J’espère que vous avez apprécié cet article. Pour mon prochain article, je prévois parler des évènements prévus cet été où il serait intéressant de donner des articles promotionnels à Granby. Et puis, êtes-vous un mouton en affaires ?

 

 

Articles promotionnels et vêtements corporatifs pour son équipe sportive

Que ce soit au niveau scolaire ou professionnel, on peut dire que la personnalisation des équipements de sport a son importance. En effet, étant membre d’une équipe sportive, l’athlète souhaitera acquérir un sentiment d’appartenance envers le club.

L’accès à des articles promotionnels et vêtements corporatifs pour son équipe sportive favorisera son intégration et l’atteinte de ce sentiment. Plutôt que de voir vos athlètes se présenter aux pratiques ou aux matchs avec des produits représentant différents logos, pourquoi ne pas renforcer les liens de votre équipe avec les objets promotionnels?

Articles promotionnels et vêtements corporatifs pour son équipe sportive : 

Renforcer l’identité de l’équipe

Faisant moi-même partie d’équipes sportives compétitives depuis des années, l’importance que j’accorde à posséder ces produits n’a jamais diminué. Au contraire, le désire d’avoir ces vêtements et objets personnalisés à l’effigie de mon équipe est au fil du temps devenu un indispensable. Passant par la gourde d’eau, le sac, le porte-clés, le chandail d’échauffement, l’arrivée de ces articles était toujours attendue avec impatience.

Lorsqu’une nouvelle saison commence, tous les membres de l’équipe sont excités à l’idée de recevoir l’uniforme qui leur appartiendra pour les matchs à venir. Il est en quelque sorte rassurant de savoir que l’équipe est identique. Ça rassemble et favorise le sentiment d’appartenance, l’équipe devient unie, formant désormais une famille.

J’irais même jusqu’à dire que cela créer un fort impact lorsque vient le temps d’aller compétitionner à l’extérieur. Ça permet à l’équipe de se distinguer et la ville qui reçoit peut facilement reconnaitre à quelle organisation appartiennent les joueurs. Cela fait en sorte que l’équipe s’impose et ainsi les athlètes sont plus confiants à performer.

À titre d’exemple, lors de la saison collégiale 2016-2017, l’équipe de basketball féminine dont je fais partie a obtenu son accès au championnat de conférence. Suite au match décisif qui a confirmé cette participation aux régionaux, l’une de mes coéquipières a proposé avec enthousiaste de faire confectionner des chandails à manches longues pour les périodes d’échauffement. Une idée qui a fait l’unanimité au sein de l’équipe.

Articles promotionnels et vêtements corporatifs pour son équipe sportive

Bien évidemment, on comprend qu’ils ont été créés spécialement pour l’événement. Fière de ce que nous avions accompli, l’élaboration de ce vêtement corporatif signifiait crédibilité et confiance.

Même si la saison se terminait sous peu, ce nouveau chandail aux couleurs de l’équipe, désirée par chacune des joueuses a créé un sentiment d’appartenance encore plus fort. Comme si nous étions vraiment prêtes à nous dépasser pour ce tournoi annuel.

Il peut être difficile de saisir l’incidence positive que peuvent avoir les vêtements corporatifs au sein d’une équipe sportive, pour quelqu’un n’ayant jamais appartenu à une équipe. Toutefois, pour les partisans, ce sentiment peut être comparable. Tout ça, grâce aux articles promotionnels et vêtements corporatifs pour son équipe sportive !

Les partisans

Les articles promotionnels pour les partisans ont également leur place. Autant du côté vestimentaire que pour les divers accessoires. Ça permet aux fans de s’identifier et de se distinguer facilement de la masse.

Nous avons qu’à penser au fameux club de hockey : Les Canadiens de Montréal. Lors d’un jour de match à domicile, il est possible d’apercevoir dans la ville une multitude de gens portant fièrement leur chandail à l’effigie de l’équipe pour le match qui aura lieu en soirée. Effectivement, les produits dérivés de la formation montréalaise sont en grande demande et voici quelques données pour vous le prouver.

L’existence de ces articles promotionnels permet aux partisans de développer un sentiment d’appartenance envers leurs clubs favoris.

Pour en apprendre davantage sur l’impact des produits dérivés auprès des partisans, je vous invite à consulter l’article de blogue suivant : « L’importance des produits dérivés dans le sport! »

Un peu de nostalgie à travers ces fameux objets

Les artciles promotionnels peuvent aussi rejoindre les athlètes d’une tout autre manière : rappeler des souvenirs.

Les produits personnalisés de qualité sont faits pour durer et les joueurs pourront continuer à utiliser ces items pour les années à venir, même après avoir fait leur bout de chemin au sein d’une équipe. Cela permet de se rappeler les défis surmontés, les succès connus ainsi que les liens d’amitié créés, et ce, à toutes les fois qu’ils porteront ou utiliseront ces items.

Toujours dans un contexte sportif, lorsque j’étais plus jeune, j’ai participé à quelques reprises à des camps de basketball. Ceux-ci se déroulaient dans des universités en collaboration avec l’équipe officielle de l’établissement.

Lors de mon arrivée, je me suis dirigée vers les tables d’accueil pour confirmer ma présence et il s’y trouvait également un kiosque avec de la marchandise à l’image de l’organisation sportive. Un regroupement de personnes se situait à cet endroit. Chacun désirait avoir ce petit quelque chose permettant de s’identifier à l’équipe et ses athlètes reconnus.

Je me souviens avoir acheté au moins trois ou quatre articles (short, camisole, gourde d’eau, chandail à manche longue). Non seulement je les possède encore à ce jour, mais je continue de les utiliser. Je me remémore alors ces expériences.

Mot de la fin sur les articles promotionnels et vêtements corporatifs pour son équipe sportive

Qu’ils soient exclusivement dédiés au marketing ou utilisés pour créer des liens d’appartenance à une marque ou entre individus, les articles promotionnels et les vêtements corporatifs jouent un rôle définitif. On peut s’en servir à différentes fins et c’est ce qui les rend appréciés de tous. C’était tout sur les articles promotionnels et vêtements corporatifs pour son équipe sportive !

Ced Remy: infopreneur et vlogueur!

Ced Remy est un jeune entrepreneur québécois qui a lancé il y a peu son site internet. Ce qui le distingue des autres? Il se considère avant tout comme un infopreneur! Que signifie ce terme? C’est ce que vous allez découvrir au cours de cet entretien.

Entretien avec Ced Remy : 

1- Depuis combien de temps est-ce que vous vous intéressez au monde de l’entrepreneuriat?

Depuis l’adolescence je dirais. À cet âge, on se pose les questions à savoir ce qu’on veut faire plus tard, mais on ne parlait pas vraiment de l’entrepreneuriat. Mais une chose est sûre, c’est que j’ai toujours voulu être mon propre patron.

 

2-Vous vous décrivez comme un infopreneur. Que signifie ce titre?

Un infopreneur c’est comme un blogueur, mais qui monétise son contenu, ses articles et ses produits. Je partage ma passion et mes connaissances dans mes articles et vidéos. J’aide également des employeurs, employés et clients par rapport à la communication, mais aussi par rapport au marketing en général et au branding.

 

3-Pour quelles raisons avez-vous décidé de lancer votre propre site internet?

J’ai sorti mon site internet il y a quelques mois de cela. Comme je le mentionnais, je rêve depuis que je suis adolescent de devenir un entrepreneur. Avec mes précédents emplois, j’avais du contrôle, mais jamais autant que je l’aurais souhaité. Maintenant, c’est moi qui gère tout ce que je fais. Avec mes produits et services à vendre, ça fait beaucoup à m’occuper en même temps, mais j’y vais étape par étape.

 

4-Quelle est votre mission à long terme avec votre site internet?

Ma mission est d’aider les gens à améliorer leur qualité de vie au niveau personnel, mais surtout au niveau professionnel. Je pense qu’avec mon expertise en communications, marketing numérique et branding, je peux aider ces gens à repousser leurs limites et maximiser leur potentiel. Bien que la plupart de mon contenu soit gratuit, je suis en train de développer des programmes plus développés qui seront disponibles en ligne et sous forme de coaching de groupe. De cette façon, il sera plus facile de partager mon message et toucher le plus de gens.

 

5-En plus de votre site internet, avez-vous d’autres projets en tête?

Je veux concentrer 90% de mon énergie sur mes produits et services offerts sur mon blogue. Toutefois, je veux aussi développer mon porte-feuille résiduel, c’est-à-dire que je veux investir dans certaines compagnies. Ce projet est bien évidemment sur le long terme.

 

Merci encore une fois à Ced Remy pour cette belle entrevue!

Ced Remy

 

Crédit photos: Ced Remy

KirMaq.Tech: une entreprise montréalaise qui vient en aide aux campeurs et entrepreneurs!

La compagnie KirMaq.Tech est l’oeuvre de trois bons amis de la région de Montréal, Nassim Kirouac, Vipul Srivastav et Jacob Martin-Debujanda. Ensemble, ils ont pour mission de sécuriser les voyages des campeurs en plus d’aider les futurs entrepreneurs!

 

1-Pour quelles raisons avez-vous décidé de vous lancer en affaires? Qu’est-ce qui vous intéressait de ce milieu?

La principale raison qui nous a poussé à se lancer en affaires est qu’on puisse faire ce que l’on aime. Donc, être nos propres patrons, avoir la flexibilité de faire nos propres horaires tout en restant efficaces, motivés et respecter notre échéancier. D’autre part, ce qui nous motive le plus est de choisir avec qui nous travaillons; de s’entourer de personnes en qui nous avons confiance, des personnes compétentes et de personnes avec qui nous prenons du plaisir à travailler. Tout compte fait, être entrepreneur nous permet de réaliser des projets que nous avons à cœur avec nos amis les plus proches!

 

2- Comment a été fondée votre entreprise KirMaq.Tech? D’où vient cette idée?

L’idée de KirMaq.Tech vient de Nassim Kirouac. Son but premier était de créer sa propre entreprise tout en travaillant avec ses meilleurs amis et sa famille. Après une deuxième place lors du Hackathon Desjardins et plusieurs bons commentaires, il s’est affilié avec Vipul Srivastav et Jacob Martin-Debujanda pour fonder KirMaq.Tech. Au fil du temps se sont ajoutés cinq autres membres aux trois cofondateurs. A ce jour, l’équipe travaille sur des projets internes et externes de l’entreprise.

 

3- Depuis combien de temps cette compagnie a été fondée et quels sont les différents produits/services offerts?

Nous avons fondé l’entreprise il y a de cela dix mois. Nous venons de réussir notre campagne de socio-financement Kickstarter et nous sommes en voie de lancer notre premier produit; CAMP/y. Il deviendrait le premier appareil connecté de prévention et sécurité pour le camping. De plus, nous offrons des services de prototypage software/hardware pour les jeunes entrepreneurs ou entreprises qui veulent matérialiser une idée à faibles coûts.

 

4- Quels conseils donneriez-vous aux gens qui souhaitent également se lancer en affaires? 

Les meilleurs conseils sont d’être motivé et confiant! C’est ce qui fait la différence, car ça se ressent et l’auditoire a plus envie d’embarquer dans le projet. Par le fait même, le public aura plus envie de vous supporter! Sinon, un conseil pour un entrepreneur serait de bien s’entourer, ne pas avoir peur de la critique et de toujours saisir toutes les opportunités. On ne sait jamais quelle discussion, courriel ou article sera l’étincelle qu’il faut pour que ça marche!

 

5- Quels sont vos objectifs personnels comme entrepreneur et pour votre entreprise KirMaq.Tech pour les prochaines années?

Nous avons tous des projets personnels et nous voulons tous les mettre à terme dans les prochaines années grâce à KirMaq.Tech . Nous avons confiance qu’en joignant nos forces et en nous entraidant, nous pourrons réaliser nos objectifs, autant individuels que collectifs. On veut commencer par commercialiser notre première application mobile puis CAMP/y. Les prochains projets sont en développement et seront révélés en temps et lieu. Pour suivre nos progrès, c’est possible en nous suivant sur notre page Facebook et sur le site officiel de KirMaq.Tech .

 

Merci à Nassim Kirouac, Vipul Srivastav et Jacob Martin-Debujanda pour votre temps!

 

KirMaq.Tech

 

Crédit photos: Page Facebook officielle KirMaq.Tech 

Dominic Sicotte: soyez l’exception!

Il y a quelques années, Productions Extrême s’était entretenu avec l’entrepreneur Dominic Sicotte dans le cadre de l’article «Dominic Sicotte ou la passion à l’état pur». Depuis ce temps, le conférencier/consultant/entrepreneur web s’est lancé dans plusieurs autres projets, dont celui de lancer son propre site internet. Qu’est-ce qui l’a poussé à sauter dans cette nouvelle aventure? C’est ce que vous allez découvrir au cours de cette entrevue!

Entrevue avec Dominic Sicotte : 

1-Vous êtes dans le monde des affaires depuis 1998. Qu’est-ce qui vous a attiré vers cet univers?

Ce qui m’a le plus attiré vers le monde des affaires est le fait que je pouvais travailler à mon compte. Plus jeune, j’ai travaillé pour une firme qui était en contact avec tous les médias, principalement ceux économiques. C’est de cette façon que je me suis créé un réseau pour par la suite, être consultant pour les entreprises.

 

2- Au fil des années, vous avez développé de nombreux projets (dont En Affaires avec passion, et Becka Marketing). Quel est celui dont vous êtes le plus fier à ce jour?

J’ai deux gros projets dont je suis particulièrement fier. Le premier s’appelait roadshows, qui était une plateforme où je diffusais des vidéos en 2004! Mais pas n’importe quelles vidéos. Il s’agissait en fait d’entrevues avec des dirigeants d’entreprises et tout le monde pouvait par la suite y avoir accès. C’était révolutionnaire puisqu’à l’époque, des dirigeants pouvaient faire des conférences devant une petite clientèle cible, mais les autres personnes ne pouvaient y assister. J’ai toujours voulu être en avance sur les autres gens dans mon domaine et ce fut le cas avec ce projet qui a connu un succès instantané. J’ai vendu ce site en 2009.

Mon deuxième gros projet est En Affaires avec passion, qui était encore une fois une première dans le milieu, soit celui de faire des poadcasts avec des acteurs populaires du monde des affaires, comme Grant Cardone et Gary Vaynerchuk. Encore là, grâce à cette plateforme, je me suis bâti un énorme réseau de contacts et les gens ont apprécié ce show sur le web.

 

3- Vous avez lancé il y a quelque temps votre propre site internet, dominicsicotte.com, où vous vendez votre travail de “coaching ”. Quelles sont les raisons qui vous ont poussées à vous lancer dans ce nouveau projet?

J’ai toujours été intéressé par la psychologie. Il faut dire que j’ai fait des études dans ce domaine plus jeune. L’an dernier, j’ai vécu une période difficile où je suis tombé malade. Pendant ce temps, j’ai eu tout le temps voulu pour réfléchir et penser à de nouveaux projets. J’ai d’abord créé le site succeszen.com, une plateforme ayant pour thème principal le développement personnel et où tout le monde peut collaborer. C’est au même moment que j’ai décidé de lancer mon propre site internet, dominicsicotte.com. Au fil des années, je me suis demandé pourquoi certains entrepreneurs réussissaient mieux que d’autres. S’ils avaient des critères ou des caractéristiques particulièrement qui leur permettaient de se démarquer. C’est en se basant sur ces réflexions que je veux maintenant aider les gens. Je veux développer leur “mindset” en travaillant avec ces personnes pour qu’elles puissent atteindre leur plein potentiel.

 

4- À long terme, quels sont vos objectifs avec votre site internet et comme entrepreneur en général?

Pour mon site succeszen.com, je veux que ce magazine électronique en devienne un en format papier. Sinon, au niveau plus personnel, je veux donner des conférences des deux côtés de l’Atlantique, autant en français qu’en anglais. Je souhaite aussi aider au moins 1000 personnes par année à développer leur “mindset” pour que leurs rêves se réalisent.

Merci encore une fois à Dominic Sicotte pour son temps! 

Crédit photo: dominicsicotte.com

Phil Jones : un influenceur web aux multiples talents

Phil Jones est un influenceur web bien connu au Québec, surtout par les adolescents et jeunes adultes. Avec des statistiques comme 265 000 abonnés sur sa page Facebook, plus de 50 000 abonnés sur Snapchat, 7000 sur Youtube et près de 52 000 followers sur Instagram, pas besoin de dire que Jones est apprécié dans son milieu. Toutefois, son parcours n’a pas été de tout repos. Découvrez son parcours qui fait maintenant de lui l’un des Québécois les plus populaires de la toile!

Mon entrevue avec Phil Jones , l’ influencer web :

1-Pourquoi avoir décidé de faire des vidéos à but humoristique pour te faire connaître? Est-ce que ça faisait longtemps que tu avais ce projet en tête?

Dès l’âge de 7-8 ans, j’aimais beaucoup faire rire les autres élèves de ma classe. Ça me donnait de l’énergie et j’adorais voir que je faisais sourire les autres. C’est téteux, mais c’est vrai. Je me retrouvais souvent dans le trouble au secondaire, parce que je «déconnais» trop et je n’étais pas capable de passer une journée sans parler en classe. Mes profs m’aimaient « beaucoup »!

Également, à l’âge de 7-8 ans, mon oncle a eu l’idée de faire un petit film avec mon petit frère et moi. Si je me souviens bien, nous étions deux petits tannants dans le film (pour faire changement de ma personnalité)! Je suis tombé amoureux du théâtre à ce moment.

À l’âge de 23 ans, j’étais en grosse période de réflexion sur ma vie et ce que je voulais vraiment faire comme carrière. J’avais la mentalité de faire un DEP en construction et travailler pour quelqu’un comme la majorité des hommes. Cependant, ce n’était pas moi. Je voulais absolument trouver ma niche. J’ai donc, du jour au lendemain, pris mon iPhone 4 et je me suis exprimé de façon humoristique sur les relations amoureuses de nos jours. Nous étions en 2013 à ce moment. Lorsque j’ai publié cette vidéo, elle est rapidement devenue virale. Voir la réaction positive des gens par rapport à ma vidéo m’a donné l’envie de continuer.

 

2-Pensais-tu connaître autant de succès lorsque tu as débuté?

Je n’avais aucune idée de l’impact que cette capsule vidéo allait apporter à ma vie. Honnêtement, je ne pensais pas vraiment me faire connaître via le web et être suivi par des milliers de personnes. Je voulais juste faire ce que j’aime. Vous connaissez la suite… Maintenant, je fais ça comme métier et je suis plus qu’heureux de vivre de ma passion, soit l’humour et le acting!

 

3-Tu as maintenant ton propre site internet où tu te décris comme un influenceur web . Quel est ton rôle exactement? Est-ce que tu fais cela comme travail à temps plein?

C’est mon deuxième site web. Le premier a été créé par le gars derrière la page ConneriesQc, afin d’avoir un revenu avec mes vidéos. Je n’étais pas sur Youtube et pour moi, c’était la seule façon de monétiser mon contenu. J’ai fermé ce site qui était philjonesqc.com après 1 an et demi, car c’était beaucoup trop stressant pour moi de dépendre des clics des gens ainsi que de la publicité affichée sur mon site. Parfois, je ne faisais que dix dollars par jour, donc imaginez!

Aujourd’hui, je fais ça à temps pleins et je tire un revenu grâce à mes commanditaires et partenariats avec des entreprises. J’ai récemment décidé de me faire un nouveau site web qui me sert de page de présentation. Je trouve ça professionnel et simple pour les entreprises qui désirent faire une collaboration avec moi.

Je ne me considère ni blogueur, ni vlogueur, ni humoriste, ni comédien puisque je ne fais que du web pour le moment. Le meilleur terme pour ce que je fais c’est influencer. Un influencer web est quelqu’un qui est beaucoup suivi sur les réseaux sociaux pour la personne qu’il est. J’aime beaucoup l’humour, mais j’aime aussi inspirer et motiver les gens avec mon parcours et mes expériences de vie jusqu’à présent.

 

4-Quel est jusqu’à présent ton meilleur souvenir/événement dans ta carrière et celui le plus difficile?

Mon meilleur souvenir est ma rencontre avec celui qu’on surnomme Pogo, le gars derrière ConneriesQc. Il m’a tellement aidé à avancer professionnellement, mais nous sommes aussi devenus de bons amis.

Mon pire souvenir s’est déroulé en novembre 2015, lorsque j’ai publiquement expliqué mon état de santé. Je ne m’aimais pas et je n’avais pas une belle condition de vie, car je souffrais d’apnée du sommeil très… très sévère. J’ai passé des test du sommeil et j’ai appris par mon médecin que j’étais à risque de crise cardiaque dans mon sommeil. Il me fallait donc un CPAP, une machine qui aide à respirer pendant le sommeil. Cette machine est dispendieuse et à l’époque, j’avais 48$ dans mon compte de banque…

Lorsque je me suis exprimé publiquement sur mon état de santé, rapidement, on m’a suggéré de faire une levée de fond pour acheter le CPAP. Je n’étais tellement pas chaud à l’idée. J’ai finalement fait cette levée de fond pour amasser 2000$ pour m’acheter un CPAP. J’ai ramassé les 2000$ en moins de 24 heures. Deux personnes qui me suivent et que je ne connais pas m’ont envoyé 500$ chacun… Ça m’a aidé à amasser les fonds.

C’est mon pire souvenir car, même encore aujourd’hui, on me critique beaucoup pour cette levée de fond. J’ai perdu environ 400 abonnées en une seule journée. Je me suis senti très mal et je ne veux pu jamais ressentir cela.

 

5-On te voit dernièrement avec des morceaux de vêtements de la compagnie québécoise spécialisée dans les vêtements sportifs, Rise. Est-ce que c’était important pour toi de t’associer à une entreprise de la province qui fait la promotion du sport et de saines habitudes de vie? 

J’ai approché Rise après ma transformation physique pour leur faire un coup de publicité en échange de leur collection, car j’adore la marque et j’aime encourager les entreprises d’ici. C’était donc une alliance naturelle!

Phil Jones Rise influencer web

Crédit photos: Phil Jones page Facebook

 

Alexandre Mensi voit grand pour Mango Software !

Alexandre Mensi est un spécialiste du web qui a fondé sa propre entreprise avec une autre collègue en janvier 2012. Cette compagnie est Mango Software . Depuis ce temps, la compagnie ne fait que gagner en popularité. Tout comme Alexandre, qui est impliqué dans plus en plus de projets. Récemment, il s’est joint à un groupe de cinq autres entrepreneurs pour lancer le podcast Les Dérangeants, qui sera coproduit avec le réputé site LesAffaires.com.

Auparavant, à l’été 2016, il s’était envolé à Shangaï et Hong-Kong où il a participé avec d’autres jeunes entrepreneurs à une mission commerciale en plus de participer au 7e Sommet du G20 des jeunes entrepreneurs (SJE G20). Le Québécois avait vécu la même expérience en 2015, mais cette fois-là, en Turquie. Comme quoi Alexandre Mensi s’est comment se tenir occupé!

 Entrevue avec Alexandre Mensi de Mango Software : 

1-Quelles ont été les raisons qui vous ont poussé à vous lancer en affaires en 2012?

J’ai travaillé au fil des années pour plusieurs grosses entreprises. Un jour, je me suis fait demandé d’offrir ce service qui ne se donnait que dans de grosses compagnies, car justement, ce n’était pas accessible pour tout le monde. L’opportunité était là, surtout qu’il s’agit de mon domaine d’expertise.

 

2-D’où est venu l’idée de créer Mango Software et avec qui avez-vous collaboré sur ce projet?

Je suis le cofondateur de cette entreprise avec Naomie Potvin-Bolduc, qui s’occupe de notre stratégie web et du marketing. Comme je le dis à chaque fois, nous avons choisi Mango, car Apple était déjà pris (rires)! Pour vrai, nous voulions un choix qui se disait aussi bien en anglais qu’en français, c’est pourquoi Mango a été notre nom au final. On savait également que notre branding n’allait pas avoir de lien avec le fruit en question.

 

3-Pour les gens qui ne connaissent pas Mango Software , quel est ce service et quel est votre rôle exact dans ce projet?

En fait, chez Mango Software , nous avons trois spécialisations, soit le développement d’applications web, le développement d’applications mobiles et l’hébergement sur mesure un peu partout dans le monde. Personnellement, je suis un développeur web, mais je m’occupe également du côté relationnel en tentant de créer des opportunités de croissance entre Mango et d’autres entreprises.

 

4- Vous avez participé au cours des deux dernières années au G20 des jeunes entrepreneurs. Qu’avez-vous retiré de ces expériences?

Ces expériences m’ont non seulement permis de nous dénicher des contrats dans six pays différents, mais j’ai aussi eu la chance de côtoyer des jeunes entrepreneurs qui ont le même style de vie que moi. J’ai vraiment aimé ces moments et c’est pourquoi je pensais y retourner cette année en Allemagne, mais je suis trop occupé. Je devrais toutefois y aller l’an prochain, alors que le G20 aura lieu en Argentine.

 

5-Quels sont vos objectifs à long terme autant au niveau personnel qu’avec votre compagnie?

Présentement, je suis à une place que j’aime, alors je ne me vois pas être ailleurs. Pour l’entreprise, c’est certain que nous voulons grandir et se développer à l’international. Il faut savoir que l’expertise canadienne est recherchée un peu partout dans le monde. C’est pourquoi d’ici cinq ans, on souhaite ouvrir des bureaux ailleurs sur le globe.

 

Alexandre Mensi Mango Software

 

Crédit photos: Page Facebook officielle Mango Software

Olivier Gervais: un gardien de but entrepreneur!

Comme beaucoup de garçons qui jouent au hockey, Olivier Gervais avait pour rêve ultime de jouer dans la prestigieuse LNH. Bien que cet objectif ultime ne se soit pas concrétisé, le parcours du jeune homme de 24 ans peut en inspirer plusieurs. Ayant été coupé du Midget AAA à l’adolescence et n’ayant jamais été repêché au niveau du junior majeur (LHJMQ), le gardien de but a tout de même joué au niveau prep school (préparatoire scolaire), collégial (RSEQ) et même aux États-Unis. Il a également disputé quelques matchs professionnels dans la Federal Hockey League (FHL).

En même temps de pratiquer son sport préféré, Olivier Gervais a toujours priorisé ses études, lui qui complète actuellement un baccalauréat en marketing. Son horaire chargé ne l’a pas empêché de se lancer dans l’entrepreneuriat, lui qui a fondé le site Paramount Hockey en septembre 2015. Un projet qu’il souhaite bien évidemment développer au cours des prochaines années.

Mon entrevue avec le gardien entrepreneur Olivier Gervais :

1-Tu joues au hockey depuis ton très jeune âge et même encore aujourd’hui au niveau professionnel. Est-ce que ça faisait longtemps que tu avais pensé à ton plan B, soit le monde de entrepreneuriat?

Je joue au hockey comme gardien de but depuis l’âge de 9 ans avec comme rêve de jouer au niveau professionnel afin de gagner ma vie en m’amusant. Le monde de entrepreneuriat m’a toujours intéressé, du fait que mon père est un entrepreneur de nature. J’ai toujours aussi apprécié le côté innovateur des choses. J’ai commencé à avoir une réelle passion pour le monde des affaires après avoir rencontré des équipes NCAA (des organisations universitaires américaines) afin de m’engager dans un de leurs programmes. L’idée d’étudier le marketing du sport avait beaucoup de sens pour moi. À la suite d’une blessure en entraînement hors-saison (l’été), j’ai dû refuser une offre de jouer en NCAA DIII (3e division).

J’ai alors décidé de m’inscrire à l’Université à Montréal au BAC en administration des affaires profil marketing à l’ESG de l’UQAM et mettre ma carrière de hockey en pause. À l’époque, j’avais parlé à quelques équipes européennes, mais j’ai finalement décidé de prendre une année sabbatique pour commencer l’université tout continuant l’entraînement. C’est à la suite d’un pré-camp dans la ECHL (3e ligue d’importance en Amérique du Nord) en 2015 que mon plan B prenait de plus en plus de sens. Ayant été libéré par la suite, je me suis rapportée à une équipe professionnelle basée à New York. Le fait de m’entraîner à tous les jours et être dans les estrades lors des parties m’ont fait beaucoup réfléchir. Ayant fait une pause à l’université à ce moment pour vivre cette expérience, j’ai pu me concentrer aux différents projets de Paramount Hockey.

 

2- Tu as créé le site Paramount Hockey en 2015. Depuis combien de temps avais-tu ce projet en tête?

Cela faisait un moment que je cherchais un moyen de faire ma place et surtout ma marque dans le monde du hockey. Mes idées se mélangeaient entre fonder ma propre école pour les gardiens de but, avoir un e-commerce d’équipe de hockey, produire des vidéos de hockey et/ou même avoir une boîte marketing de sport. Omis ma famille, je n’ai jamais eu le ‘’push’’ et un réel ‘’break’’ afin de percer dans les gros calibres. Après être retranché deux années au Midget AAA malgré de très bons camps d’entrainement, l’histoire s’est répétée dans la USHL (aux États-Unis) et dans la LHJMQ.

J’ai aussi envoyé plus de 2000 courriels à des équipes juniors et professionnelles partout sur la planète.  Ma persévérance et mon acharnement n’avait aucune limite. C’est pourquoi je voulais absolument trouver le moyen d’offrir une plateforme aux jeunes afin de les aider dans leur carrière. Lors de l’été 2015, j’ai eu l’idée de commencer avec un «wikipedia» du hockey afin d’offrir toute l’information nécessaire sur les différentes ligues. J’ai donc fait beaucoup de recherche sur l’équipement, sur les entraîneurs, les agents et ainsi de suite. En fait, sur tout ce qui concerne le hockey afin de regrouper l’information sur une plateforme que j’ai nommée Paramount Hockey. Après plusieurs essais pour bâtir un site web à mon goût, c’est en septembre 2015 que j’ai officiellement lancé la première version de mon site.

Il faut dire que je n’avais aucune connaissance dans la conception de site web. Aujourd’hui, le but de la plateforme Paramount Hockey a beaucoup évolué. Elle est rodée en plusieurs parties: un blogue d’informations, des événements, des services médias et plus encore. Le blogue contient également plusieurs collaborateurs de partout sur la planète. Nous sommes maintenant plus un blogue qu’un site web d’informations sur le hockey.

Bien sûr, nous avons beaucoup de contenu sur le hockey et de nouvelles, mais nous n’avons pas encore une équipe à temps plein. C’est pour cela que nous ne pouvons pas diffuser tous les jours les nouvelles en temps réel. Nous avons aussi une section performance, endroit où plusieurs professionnels s’adressent aux lecteurs par le biais d’articles personnalisés.  Nous avons aussi comme projet d’organiser de plus en plus d’événements comme celui de “Make Your Move”, l’unique tournoi de tirs de barrage au Québec organisé en collaboration avec Maxime St-Michel. Nous avons aussi comme plan d’évoluer le volet performance et développement des jeunes en leur permettant d’obtenir des opportunités dans le domaine du hockey.

 

Olivier Gervais Paramount Hockey

3- Quel est ton rôle dans ce projet et quels sont tes objectifs à long terme avec PH?

Mon rôle aujourd’hui est d’être le chef d’orchestre du projet. Il y a tellement de sous-projet déjà entamés et aussi en préparation. C’est pourquoi il faut quelqu’un afin de s’assurer que tout se déroule comme prévu. Par exemple, pour le blogue, j’ai la chance d’être entouré d’un super ami, Alain Balleux. Il veille à alimenter le blogue avec des textes sur différents sujets. Pour le tournoi “Make Your Move”, c’est Maxime St-Michel, le co-fondateur de l’événement, qui m’épaule à le développer et en faire un ‘’happening’’ dans le monde du hockey. L’événement en était à sa deuxième édition cette année, toujours avec des collaborations de V-Nation, Bauer, HockeySupremacy.com et JC Perreault et plusieurs autres.

Mon rôle est aussi d’avoir une vision d’ensemble du projet, soit de le diriger vers le haut. Je dois aussi faire en sorte que tous les gens qui y participent réussissent dans leur domaine. Mais ils doivent le faire en s’amusant et en ayant le désir d’aller encore plus loin dans l’aventure. Les possibilités sont infinies, et mon but personnel, c’est de faire de Paramount Hockey une plateforme qui fait avancer les acteurs du hockey. Surtout en leur donnant de la visibilité, que ce soit des joueurs, des journalistes, des préparateurs physiques et ainsi de suite.

 

4-En plus de ton rôle avec PH, tu es aussi un entraîneur de gardien de but en plus d’être étudiant. Au niveau personnel, as-tu d’autres projets que tu aimerais développé?

Mon objectif premier est de m’amuser et de faire profiter aux plus de personnes possibles partout sur la planète mes projets! Je vais bientôt terminer mon BAC en marketing et peut-être même aller à la maîtrise tout en prenant de l’expérience avec Paramount Hockey. Le ‘’coaching’’ est aussi une passion. J’ai commencé à l’âge de 16 ans et j’en ai maintenant 24. J’ai touché à plusieurs aspects du coaching et j’ai aussi appris de plusieurs entraîneurs réputés avec chacun leur mentalité.

J’ai aussi eu la chance d’aller faire une formation en Finlande avec deux entraîneurs des gardiens de la LNH ainsi que plusieurs de l’Europe. Cette expérience me permet aujourd’hui d’avoir une vision précise de la façon d’aider les gardiens de but à se développer. L’idée d’aider de jeunes joueurs à ouvrir leurs portes sur le monde du hockey est un des projets que j’aimerais vraiment réaliser. De plus, je travaille aussi avec un ami afin de réaliser un projet plus relié au sport et à la santé en générale.

 

5-Comme hockeyeur, est-ce que tu penses poursuivre ta carrière ou tu veux te consacrer à 100% à ton après-carrière?

Comme je dis toujours à mes gardiens de but, si tu veux te rendre à un endroit, tu vas trouver le moyen de t’y rendre et tu vas travailler pour. Ce ne sera peut-être pas facile, et beaucoup de gens peuvent te décourager, mais tu dois rester motiver. J’ai personnellement un objectif que je me suis fixé et que je veux atteindre avant un certain âge. Donc, je ne pense pas encore à mon après-carrière, car dans un certain sens, ma carrière est déjà entamée. Mes deux projets peuvent se faire via le web, donc je peux en profiter et jouer au hockey en même temps. La seule raison qui m’empêcherait d’avancer dans le hockey, c’est si mon corps me dit que c’est assez!

Olivier Gervais

Crédit photos: Page Facebook Paramount Hockey

 

Julien Brault : l’écriture, la finance… et le bacon!

Julien Brault s’est fait un nom alors qu’il était journaliste pour le réputé site internet LesAffaires.com de 2012 à 2016. Celui qui écrivait sur le monde de l’entrepreneuriat, mais aussi de la finance, a alors décidé de mettre en œuvre son idée de projet, HardBacon. Ce site web, qui est disponible comme application, aide les utilisateurs à devenir des investisseurs avertis. Voyez comment l’ancien journaliste et écrivain a réussi à partir une compagnie qui a pour mission d’aider les gens avec leur finance!

Voici mon entrevue avec Julien Brault :

1-Étant journaliste/écrivain de formation, pourquoi avez-vous décidé au final de vous diriger vers le monde des affaires?

Selon moi, on ne devient pas entrepreneur. On a cela en soi. Plus jeune, j’ai déjà eu ma propre maison d’édition ainsi que d’autres petits projets. C’était juste une question de temps avant que je m’investisse dans les affaires à 100%. Bien que j’aie beaucoup apprécié mon parcours comme journaliste, le monde de l’entrepreneuriat me manquait. Je suis accro aux dangers et aux défis qu’il y a dans ce milieu. De plus, je savais qu’il y avait des opportunités à l’heure actuelle dans le monde des finances.

 

2-Vous avez écrit pour le réputé site LesAffaires.com. Est-ce que cette expérience vous a été bénéfique pour la suite de votre parcours?

Oui c’est certain! J’ai côtoyé au fil des années de nombreuses personnes d’influence en plus de réaliser des entrevues avec plusieurs directeurs d’entreprises. J’ai pu approfondir mes connaissances sur la bourse et les finances en général. Ce que j’aimais du journalisme, un peu comme en affaires, c’est qu’il n’y a pas de routine. Il y a toujours un effet de nouveauté et de plus, dans les deux domaines, il est important d’avoir un bon réseau de contacts.

 

3-Par quoi avez-vous été inspiré lorsque vous avez fondé votre entreprise Hardbacon?

Il faut savoir au départ qu’Hardbacon est un site internet et/ou une application qui a pour but d’aider les gens à gérer eux-mêmes leurs finances. On ne manipule pas leur argent. J’ai eu cette idée puisque qu’étant moi-même un investisseur, j’ai fait des erreurs au fil des années. Je me suis dit qu’une application qui pouvait aider les gens, comme j’aurais aimé me faire aider, serait une bonne idée. De plus, avec le monde technologique qui est en constance évolution tout comme le domaine des finances, l’opportunité était là.

 

4-Quels conseils donneriez-vous à de futurs entrepreneurs qui veulent se lancer en affaires?

Je dirais d’augmenter leur limite de carte de crédit avant de partir de leur job (rires)! Pour vrai, il est important de regarder pour le financement avant de se lancer dans cette aventure. Il est important d’être préparé, entre autres en ayant cherché la formation et les outils nécessaires à notre réussite. Comme mentionné plus tôt, il est aussi nécessaire de développer un bon réseau de contacts. Ce serait mes conseils pour les futurs entrepreneurs!

 

5-Personnellement, quels sont vos objectifs pour les prochaines années ainsi qu’avec Hardbacon?

Si tout va bien, je voudrais que mon entreprise Hardbacon devienne internationale. Elle est présentement connue à l’échelle nationale, mais c’est certain que je veux que ça aille encore plus loin. Il faut aussi que j’apprenne à me contrôler et me concentrer seulement sur un gros projet et non pas tenter d’en partir dix en même temps (rires)!

Julien Brault HardBacon

 

Crédit photos: Facebook