Les opportunités estivales

L’été, plusieurs attendent avec impatience cette saison. Comme vous le savez, la température est favorable aux activités extérieures. Vous pouvez consulter un article ici. Il vous propose des idées pour les activités populaires estivales. C’est pourquoi j’écris aujourd’hui un article sur les opportunités estivales

Comme mentionné dans mon dernier article, qui parlait de ne pas être un mouton, je vais parler des événements à Granby prévus qui pourrait être une opportunité pour votre entreprise.Peut-être que certains des événements que je vais présenter vont vous être connus. Peut-être, vous n’avez jamais pensé que vous pourriez utiliser ces événements pour vous démarquer.

Voici les opportunités estivales à Granby : 

La Journée canine

Comme vous pouvez bien l’imaginer, les personnes présentes seront des amateurs des animaux. Voici les détails de l’événement. Si vous le désirez, vous pouvez consulter la page Facebook de l’an dernier, car la page 2017 n’est pas encore créée.

Voici quelques objets que vous pourriez utiliser lors de cet événement.

Les opportunités estivales

 

Les obstacles pour les parcours. Les gens ont tous leur attention sur la course. Vous êtes sûr d’être vu. De plus comme la SPA organise l’événement cela vous donne l’occasion d’améliorer votre image auprès du public.

Vous pourriez également faire des accessoires pour chiens comme :

  • Laisse pour chiens
  • Bol de nourriture
  • Habillement
  • Jouet

Il est sûr que cet événement est plus intéressant pour certaines entreprises que d’autres. Par contre, je ne crois pas que cela devrait vous arrêter. Prenons une compagnie de supplément.

Le premier qui me vient en tête est Granby nutrition. Qui a d’ailleurs un des propriétaires les plus sympathiques qui m’a été donné de rencontré. Sans parler de l’ambiance !

Bon, revenons au sujet. La compagnie pourrait faire des sacs avec leur logo pour quand les gens vont promener leur chien. Ces sacs se feraient voir par tous leurs voisins et gens qu’ils vont croiser leur chemin.

La fête des mascottes

Si vous êtes de Granby, vous devez surement connaitre la fête des mascottes. Sinon vous pouvez cliquer ici. Si vous voulez connaitre le nombre de spectateurs, vous pouvez consulter ce lien.

Comme vous avez pu l’observer, les occasions publicitaires sont assez élevées. Il est certain que si vous avez une mascotte ou un véhicule vous pouvez les exposer à cet événement.

Il y a également tous les articles d’été classique comme des lunettes, casquettes, ballon, bouteille et autre. J’imagine que vous y avez déjà pensé. Cependant, vous n’allez probablement pas être seul.

Habituellement, il fait chaud lors de cet événement. Alors, si vous pouvez faire un article qui comble ce besoin cela serait un plus. Cet article est particulièrement intéressant, car c’est un ventilateur portatif qui peut envoyer de l’eau pour être plus rafraichissant.

Les opportunités estivales

Si votre entreprise est sur la principale, cela n’est que plus avantageux. Prenons le maître glacier par exemple. Si elle donne de ces ventilateurs portatifs plus au début de la principale, les clients seront peut-être attirés par l’envie d’une glace grâce à cela.

Le festival de la chanson

Les opportunités estivales

Le festival de la chanson est probablement l’événement le plus populaire de Granby. Il risque de le rester pour de nombreuses années à venir vu qu’il attire de plus en plus de gens.

Les opportunités sont encore très nombreuses. Il a évidemment encore les options plus classiques. Comme des lunettes, porte-clé, parapluie, etc. Cependant, vous les connaissez déjà.

Pour faire différent, voici ce que vous pourriez faire. Vous pourriez donner de petits haut-parleurs. Vous pourriez vous assurer pour qu’ils soient compatibles avec le système du festival.

Les opportunités estivales

Les voitures anciennes

Le dernier événement dont je vais parler dans cet article est le rassemblement des voitures de Granby. L’événement a attiré 30000 personnes l’an dernier. Ce qui est très bon.

Les opportunités estivales

Il faut prendre en considération que ces gens fondent très attention à leur voiture. Ils ne mettront probablement rien sur leur voiture ancienne. Cependant, les visiteurs pourraient. Par exemple, un de vos logos en sens bon pour voiture.

Vous pourriez aussi donner

  • Des lunettes
  • Des casques
  • Des linges pour laver les autos
  • Des portes-clés

Il est certain que si vous avez les moyens vous pouvez en acheter une et y mettre vos couleurs. Pour la montré à l’événement.

Mot de la fin sur les opportunités estivales

Voici ce qui conclut cet article. Il faut toujours garder en tête qu’on a plusieurs opportunités d’augmenter notre visibilité et d’augmenter notre clientèle. Il faut seulement les saisir et savoir les reconnaitre. C’était tout sur les opportunités estivales !

 

 

Comment les articles promotionnels ont-ils influencé une des plus grandes décisions de ma vie d’étudiante ?

Pourquoi ce qui semble banal au premier coup d’œil peut avoir un impact sur une décision aussi importante ? Je suis une finissante en administration au Cégep de Granby et voici comment les articles promotionnels ont-ils influencé une des plus grandes décisions de ma vie d’étudiante. 

Comment les articles promotionnels ont-ils influencé une des plus grandes décisions de ma vie d’étudiante ? :

Entamer le processus

Comme de nombreux étudiants qui terminent leur DEC, j’ai désiré poursuivre mes études à l’université. Par contre, avant d’entrer dans une institution de cette envergure, il faut faire un choix et ce n’est pas si simple.

Faisons un retour à l’arrière vers la mi-novembre, au moment où les universités ouvrent leurs portes à des étudiants comme moi. Ceux qui désirent réaliser une inscription, mais qui veulent en voir plus avant de faire un choix définitif.Comment les articles promotionnels ont-ils influencé une des plus grandes décisions de ma vie d’étudiante ?

Pour ma part, j’avais sélectionné deux établissements potentiels qui me semblaient bien. Sans avoir de parti pris pour l’une ou l’autre des institutions, je me suis rendue sur leur campus. Je suis passée par toutes les étapes ; le tour guidé, les conférences, les tables d’informations…

 

L’impact d’une visite

Une semaine plus tard, j’avais fait mon choix, celui qui semblait si dur au préalable, mais qui finalement s’est fait de façon plutôt naturelle. Une des raisons qui m’a menée à cette décision est tout simplement le marketing par l’objet. Ces fameux stylos, porte-clés et sacs recyclables semblent avoir si peu d’impact, mais au contraire.

Lorsque j’ai réalisé ma visite dans l’une des universités, la première chose que l’on m’a offerte au moment de franchir leurs portes est un sac réutilisable à l’image du collège dans lequel se trouvaient quelques documents informatifs.

Laissez-moi vous dire que je désirais ce sac avant même d’être entrée dans l’établissement. À l’extérieur comme à l’intérieur, tous les jeunes qui se trouvaient dans les environs avaient leur sac à la main et je voulais avoir le mien aussi.

Plus tard dans la visite, on m’a offert un porte-clés à l’effigie de l’université et je le porte encore sur moi à ce jour. Simplement parce que j’ai décidé de choisir cette institution.

 

Comment les articles promotionnels ont-ils influencé une des plus grandes décisions de ma vie d’étudiante : ma décision finale

Le raisonnement est simple, lorsque j’ai visité la seconde université, qui n’était pas moins bonne à mes yeux, on ne m’a rien offert. La semaine suivante, j’avais mon porte-clés et mon sac réutilisable à la main, ceux reçus lors de ma première visite. Une semaine pendant laquelle j’ai vu et revu le nom de cette université et me suis imaginé faire partie de ses étudiants. On aurait quasiment dit que je la fréquentais déjà moi-même.

Maintenant, il est certain que ma décision ne s’est pas basée à 100% sur des articles promotionnels, j’aurais été beaucoup trop influençable advenant le cas. Mais, je ne peux pas dire qu’ils ont été pour rien dans ma décision.

Suivant mon inscription, j’ai reçu après des semaines d’attente ma lettre d’admission. Puis, cela peut vous surprendre, mais avant même d’annoncer la nouvelle à mes parents, je suis allée sur le site Web de l’université et j’ai commandé deux chandails, un pour chacun d’eux. J’ai attendu de les recevoir trois jours après, pour leur remettre ma lettre accompagnée des vêtements pour leur annoncer mon acceptation.

Conclusion sur comment les articles promotionnels ont-ils influencé une des plus grandes décisions de ma vie d’étudiante

Je voulais non seulement être associée à ce collège, mais également que mes parents le soient à travers ces objets. Maintenant, je réalise comment ce qui peut sembler banal au premier coup d’œil peut engendrer un impact aussi important.

Dans mon cas, les articles promotionnels ont été une petite attention qui s’est avérée bénéfique. Décidément, ils ne sont pas à sous-estimer.

 

Pour les curieux, il s’agit de l’Université Concordia.

Comment les articles promotionnels ont-ils influencé une des plus grandes décisions de ma vie d’étudiante ?

 

Janie Duquette: le leadership au féminin!

Janie Duquette est une femme aux multiples fonctions. L’avocate de formation est actuellement dirigeante d’entreprise, auteure et conférencière, elle qui était devenue à l’âge de 28 ans PDG de la firme DÉJÀ Musique. Après s’être occupée de la carrière des Corneille, La Chicane, Boom Desjardins, Dany Bédar, Jonas et Nolwenn Leroy pendant une quinzaine d’année, l’entrepreneuse s’est lancée dans une nouvelle carrière.

Il y a quelques années, Janie Duquette s’est donnée pour mission de promouvoir le leadership féminin. Après la sortie de son livre « Les 7 clés du leadership féminin; Diriger avec la tête et le coeur » en avril 2014 et de son site internet Alma ma terre en 2015, rien ne semble pouvoir l’arrêter!

Entrevue avec Janie Duquette :

1-Vous êtes depuis de nombreuses années dans le domaine de entrepreneuriat. Qu’est-ce que vous aimez autant de ce milieu?

C’est une maladie! On l’attrape! Plus jeune, je n’avais jamais été en contact avec le monde des affaires puisque personne dans ma famille était entrepreneur. J’étais avocate de formation lorsque je suis devenue PDG d’une entreprise à 28 ans, soit DEJA Musique. Rapidement, j’ai su que j’avais la fibre entrepreneuriale. J’ai eu la chance d’avoir un excellent mentor en Donald Tarlton, fondateur de Donald K. Donald. C’était un homme très généreux qui donnait la chance aux jeunes. Je me suis rapidement sentie à ma place dans ce milieu, où il ne faut pas avoir peur du risque et où chaque victoire est extraordinaire!

 

2-Votre livre « Les 7 clés du leadership féminin » a été très populaire, tellement que vous avez sorti une réimpression modifiée de l’ouvrage. Est-ce que vous pensiez connaître autant de succès?

Je me doutais qu’il y avait un besoin, sinon, je n’aurais pas écrit ce livre. J’ai vécu beaucoup de choses comme femme entrepreneuse, surtout que j’étais à un certain moment l’un des rares. Comme femmes, nous n’avons pas les mêmes enjeux que les hommes et c’est pourquoi elles ont besoin d’astuces. Il faut savoir qu’aujourd’hui, il y a aussi des avantages à être une femme et c’est ce que je voulais démontrer.

3-Est-ce difficile pour une femme de faire sa marque dans le domaine de entrepreneuriat?

Ce domaine n’est pas facile pour les femmes ni pour les hommes. Comme j’ai mentionné plus tôt, oui il y a des avantages à être une femme, mais il y a des désavantages aussi. Le double standard est bel et bien présent, donc ça reste encore plus difficile pour les femmes. C’est pourquoi il faut en parler. La seule chose sur laquelle nous avons le contrôle, c’est notre réaction face aux différentes situations. C’est ce qu’explique également mon livre.

4-D’où vient votre idée de créer le site Almamaterre?

J’ai initié ce projet pour mettre en valeur le leadership féminin. L’idée m’a traversé la tête il y a quelques temps lorsque j’ai fait un TED Talk (conférence). J’ai expliqué lors de cette conférence le pourquoi de mon changement de carrière. Il faut dire que je me posais de nombreuses questions, dont le fait de savoir si je voulais passer le reste de ma vie à promouvoir des chanteurs, et non moi-même. Des femmes réalisent des exploits qui restent dans l’ombre et à mes yeux, celles-ci méritent d’être connues. C’est pourquoi j’ai créé cette plateforme.

 

5-Quels sont vos objectifs pour les prochaines années? Avez-vous déjà des projets en tête?

Je suis présentement en tournée pour parler de la condition féminine dans 17 régions du Québec et ce, depuis le mois de septembre dernier. Les femmes ont actuellement un grand champ d’opportunités et elles doivent saisir ces occasions. Nous avons besoin de leurs idées, qu’elles se manifestent. Parallèlement à cela, oui, j’ai d’autres projets en tête. Par exemple, je rédige actuellement un livre en anglais, qui se vaut une suite de mon premier bouquin. Également, mon site, Almamaterre, va être totalement revampé.

Aussi, depuis quelques années, lors du 8 mars, j’organise en collaboration un événement pour promouvoir la journée de la femme. Il a pour titre Femmes Ensemble et il se déroulait cette année à Brossard. Un total de 20 personnalités féminines de plusieurs domaines ont été présentées, d’autres déjà connues et d’autres qui méritent d’être plus sous les projecteurs. Il y avait également des spectacles d’humour, de chant, de musique, des témoignages et encore plus.

Finalement, je vais devoir aller en réimpression de mon livre pour une cinquième fois. Il a reçu le titre de best-seller. C’est une très belle surprise et ça me fait chaud au cœur de voir que les gens semblent l’aimer.

Merci encore une fois Janie Duquette pour cette entrevue!!

Crédit photo couverture: Page Facebook Janie Duquette

Marie-Ève Roy: l’entreprenariat dans le sang!

Marie-Ève Roy est une femme d’affaires originaire de Montréal, mais qui habite depuis déjà quelques années à Granby. C’est d’ailleurs dans sa ville d’adoption que la Québécoise a lancé son entreprise, Les Mollets Frisquets. Sa compagnie qui a été fondée en 2012 « a pour mission de créer des vêtements en recyclant au maximum différents textiles et de réduire ainsi les quantités de tissus jetés aux rebuts », comme s’est indiqué sur le site internet.

Marie-Ève Roy confectionne de nombreux vêtements, comme des jambières, des poignets ainsi que des manches en utilisant seulement des fibres textiles usagées. Tous les vêtements ont une petite touche personnelle, avec des retailles de coupe, des boutons ainsi que des bijoux récupérés. Son travail valorise sa plus grande valeur, soit la consommation éco-responsable.

 

1-Depuis combien de temps êtes-vous passionnée par le domaine de entreprenariat?

Je viens d’une famille d’entrepreneurs. Mon père possédait un dépanneur avec une station d’essence où j’ai déjà travaillé en tant qu’étudiante comme pompiste en plus de m’occuper de l’inventaire du magasin. Il possédait également des autobus. J’ai goûté à ce milieu très jeune et c’est pourquoi cela a toujours fait partie de ma vie.

Marie-Ève Roy

 

2-D’où est venu votre idée pour votre compagnie Les Mollets Frisquets? 

En fait, l’idée s’est officialisée il y a quelques années alors que j’avais des courses à faire avec mon jeune garçon. Ce n’était pas une journée très froide, mais ni chaude non plus. On était au début du mois d’avril. Comme mon garçon n’avait pas de salopette, je lui avais mis des jambières que j’avais fait spécialement pour lui. Des gens étaient venus me parler à l’épicerie pour me dire qu’ils seraient intéressés à avoir ce genre de vêtement, mais pour eux également. À ce moment, je n’en faisais que pour enfants, mais l’idée d’en faire pour adultes est venue depuis ce temps.

 

3-Quelle a été la réaction du public lors de la mise en marché de vos produits?

La réaction a été positive! Venant de Montréal, c’est sûr que j’étais un peu prise au dépourvu en arrivant à Granby il y a de cela cinq ou six ans. Comme je n’avais pas d’emploi, le chômage me proposait de suivre une formation pour démarrer mon entreprise (CAE). Par la duite, j’ai fait le marché de Noël à Granby et c’est à ce moment que j’ai vu qu’il y avait vraiment de l’intérêt. J’ai également eu la piqûre en discutant avec mes clients et en expliquant ce que je faisais. Je savais donc à ce moment que j’allais officiellement me lancer en affaires!

Marie-Ève Roy

 

4-Étiez-vous inquiète avant de vous lancer à 100% dans ce projet?

En fait, je me suis lancée un peu dans le vide. Je voulais me lancer un défi. Avant, j’étais costumière pour l’opéra de Montréal entre autres et j’avais maintenant avis de travailler pour moi. J’ai toujours travaillé à ma tête de toute façon, alors lancer mon entreprise était ce qu’il me fallait!

 

5-Quels sont vos objectifs à long terme avec votre entreprise?

Je souhaite développer mon réseau de distribution dans les boutiques. Sinon, je me suis toujours dit qu’une bonne entreprise devait trouver sa niche, sa spécialité et rester là plutôt que de faire beaucoup de choses. On finit par s’éparpiller et notre entreprise n’est plus ce qu’elle était. Je veux seulement continuer d’utiliser des matières recyclables textiles et faire mes jambières le plus longtemps possible. Je regarde en avant et je vais voir ce que l’avenir me réserve!

Marie-Ève Roy

 

Merci encore une fois à Marie-Ève Roy pour votre temps et bonne continuité!

 

P-S: Il est aussi possible de trouver la compagnie Les Mollets Frisquets sur Facebook.

 

Crédit photos: Marie-Ève Roy

Sylvie Marsolais: quand l’art et le hockey se rencontrent!

À Productions Extrême, vous le savez, nous sommes maniaques de hockey. C’est le cas également de beaucoup de Québécois et Canadiens. L’adrénaline qu’on a lorsque notre équipe marque un beau but, remporte une victoire in extremis ou réussit un beau jeu… Toutefois, avez-vous déjà porté attention aux petits détails? Par exemple, est-ce que vous vous êtes déjà posé la question à savoir qui avait peinturé le masque de votre gardien de but préféré?

Il serait possible que ce soit en fait l’œuvre de la québécoise Sylvie Marsolais , qui, avec son compagnon de vie Alexandre Mathys, ont fondé l’entreprise Sylabrush il y a plusieurs années. Depuis la création de la compagnie, les deux artistes ont vu plusieurs de leurs masques à la télévision lors d’un match de la LNH. Parmi leurs clients actuels qui endossent un uniforme de la LNH, il y a entre autres Jean-François Bérubé (Islanders de New York), Andrei Vasilevskiy (Lightining de Tampa Bay), Mike Condon (Sénateurs d’Ottawa, mais aussi un ancien des Canadiens de Montréal) et Craig Anderson (Sénateurs d’Ottawa).

Pour tout connaître sur le parcours de Sylvie et de son entreprise, ça commence ici! Tout sur Sylvie Marsolais : 

1-D’où est venu votre passion pour les masques de gardien de but?

Ma passion pour les masques de gardien de but date de mon enfance.  À quatre ans, je chaussais déjà les patins sur une flaque d’eau gelée devant chez moi.  Les années suivantes, mes parents ont commencé à faire une patinoire dans la cour et c’est là que j’ai eu la piqûre du hockey en jouant avec mon voisin et mes cousins.

À 8 ans, mon cousin avait apporté ses jambières de gardien que j’ai pu essayer et j’étais conquise.  Je garde les buts depuis ce temps, maintenant dans des ligues de garages avec des hommes.  À l’époque, la position de gardien me fascinait dû à l’équipement particulier des gardiens.  J’aimais aussi beaucoup dessiner et la plupart de mes dessins avait rapport au hockey.  Je dessinais les gardiens que j’aimais avec leur style et leurs couleurs. Chaque gardien avait sa propre personnalité au travers de son équipement.  C’est donc plus tard que j’ai joint mes deux passions, l’art et le hockey.

Sylvie Marsolais

2- Quand avez-vous décidé que peindre des masques de gardiens allait devenir votre métier?

J’ai commencé à faire du airbrush dans les années 2000 sur des trucs que mes amis m’apportaient.  Par la suite il y a eu la période où les émissions de  »Choppers » et  »Biker build off » étaient à la mode à la télévision.  Alors j’avais plusieurs demandes de peinture pour des motos.  À cette époque, je peinturais tout ce que les gens désiraient: motos, murales, casques, masques, affiches pour magasin… et même des trucs plus inusités comme des grosses boîtes aux lettres en forme de poule, baguettes de billard, des écouteurs de DJ…  Bref tout ce qui pouvait se peinturer!  C’est après plusieurs années que j’ai pu me consacrer uniquement à peindre les masques de gardiens de but, ce que j’aimais le plus peinturer.

 

3- Est-ce que cela a été difficile pour vous de monter votre entreprise? Est-ce qu’il y a des gens qui vous ont aidé?

Ce ne fut pas un choix facile de faire le saut pour devenir entrepreneur.  À l’époque, je travaillais dans le domaine pharmaceutique et j’avais un très bon salaire, donc une bonne sécurité d’emploi.  Partir en affaires impliquait beaucoup d’insécurité au niveau salarial, les pertes d’assurance médicales, dentaires, etc. Est-ce que j’allais avoir assez de contrats pour vivre?  Plusieurs choses m’effrayaient. Au début, j’avais mon travail et je faisais du airbrush à temps partiel. Au fil de temps, j’avais de plus en plus de demandes pour du airbrush.

C’est à ce moment que ça devenait de plus en plus difficile de faire les deux.  J’ai longuement discuté avec mon conjoint et il m’a supporté et poussé pour que je parte en affaires.  Sans lui, je ne crois pas que Sylabrush (https://www.sylabrush.com/)  existerait aujourd’hui. Je lui dois beaucoup.  J’en ai par la suite parlé avec mes parents. Le regard de mon père disait tout. Je ne crois pas qu’il en était très ravi à cause de l’insécurité de partir en affaires, mais il n’a rien dit et m’a plutôt encouragé.  Pour ma mère, peu importe ce que je faisais, j’avais toujours son support. Elle voulait simplement que je sois heureuse.  Mon frère était aussi content de ma décision.  J’ai donc fait le saut!

Sylvie Marsolais

4- Question difficile, mais quelle est le masque dont vous êtes la plus fière? Est-ce la 1ère fois que vous avez vu un de vos masques dans la LNH, au niveau professionnel, au niveau junior à la télévision…?

On me pose souvent cette question et c’est la plus difficile à répondre, car on investit tellement de temps dans une peinture. Il n’y a pas que le résultat final, mais tout le processus de création. On part d’une idée que l’on concrétise. Alex (son conjoint) est en sorte le cerveau du groupe. Il a de nombreuses idées et c’est généralement lui qui en amène pour les croquis. Lorsque le croquis est approuvé par le client, je réalise la peinture.

C’est généralement ma dernière réalisation qui est ma préférée. Je dois par contre avouer que la peinture que j’ai réalisé l’an passé pour Tuukka Rask lors de la Classique Hivernale avait une saveur particulière, puisqu’ils affrontaient les Canadiens lors de ce match. C’est toujours spécial de voir une de ses peintures à la télévision. La première fois que s’est arrivé, c’est lorsque Jean-François Bérubé évoluait pour le Junior de Montréal (dans la LHJMQ) et le match était diffusé à MaTV ou Vox à l’époque. Mon premier gardien à évoluer dans la LHN était Anton Khudobin (Hurricanes de la Caroline).

 

5- Quels sont vos objectifs à long terme avec votre entreprise Sylabrush?

Notre objectif est d’augmenter notre base de clients dans la LNH d’année en année!

Gardiens Sénateurs Sylvie Marsolais

 

Merci Sylvie pour votre temps et maintenant, tous seront plus attentifs aux masques de gardiens de but lorsqu’ils regarderont un match de hockey!

 

Crédit photos: Sylvie Marsolais

Raphaël Doucet : faire sa place dans le monde du journalisme sportif

Beaucoup de jeunes rêvent de pouvoir couvrir le Canadien et ainsi faire des entrevues avec leurs joueurs préférés. Cependant, les gens du milieu le savent, se trouver une place dans le domaine du journalisme sportif au Québec n’est pas facile. Toutefois, certains se faufilent et réussissent à se démarquer au fil des années. C’est le cas de Raphaël Doucet , qui est rédacteur en chef d’Hockey Le Magazine depuis déjà quelques années.  Le Granbyen est aussi analyste pour les parties locales de l’Armada de Blainville-Boisbriand dans la LHJMQ sur les ondes du 91,9 Sports.

De plus, celui qui a obtenu son baccalauréat en communication publique à l’Université Laval a des contrats de radio en Estrie et à Montréal en plus de collaborer au Réseau des Sports (RDS). L’homme âgé de 30 ans fait également partie de l’équipe qui a mené Hockey Le Magazine à avoir sa propre mission de télévision sur les ondes de RDS depuis déjà deux ans. Comme quoi l’homme à toute faire se tient occupé!

Voici mon entrevue avec Raphaël Doucet : 

1-Comment a débuté votre carrière à Hockey Le Magazine?

J’ai débuté à Hockey Le Magazine dès sa première année d’existence comme pigiste. C’est Richard Beaudry qui a fondé ce magazine avec les Éditions Gesca (maintenant Ovation Médias). Par la suite, dès que j’ai fini mon baccalauréat en mai 2008,  j’ai commencé à travailler à temps plein. Puis, quelques années plus tard, soit en 2012, je suis devenu rédacteur en chef. Près de cinq ans plus tard, j’occupe toujours ce poste! Avant de travailler à temps plein pour Hockey Le Magazine, je travaillais à temps partiel à La Voix de l’Est, à Granby. Un poste que j’ai occupé pendant quatre ans et demi.

 

2- Quelle est votre plus belle expérience/entrevue à ce jour?

J’ai deux entrevues spéciales qui me reviennent en tête. La première est avec Jean Béliveau alors que j’avais tout juste 22 ans. C’était incroyable de jaser au téléphone avec un monsieur qui avait autant marqué l’histoire des Canadiens et de la ligue, même si j’étais trop jeune pour l’avoir vu jouer. Il avait été très généreux avec moi et pour le remercier, on lui avait envoyé des exemplaires avec son entrevue. Quelques jours plus tard, il m’avait même téléphoné pour me remercier de ces cadeaux! J’étais très heureux!

Un autre grand moment pour moi a été lorsque j’ai fait une entrevue avec Wayne Gretzky, encore une fois par téléphone. C’était dans le cadre de notre projet sur les 100 plus grands joueurs canadiens de l’histoire de la Ligue nationale de hockey. C’était en 2013 et bien évidemment, Gretzky était le #1. Encore aujourd’hui, il m’arrive de le texter ainsi que de l’appeler et il me répond. Tous les deux sont des légendes du hockey, mais aussi de très bonnes personnes.

 

Raphaël Doucet Hockey Le Magazine

 

3-Quelle a été votre plus grande difficulté rencontrée depuis vos débuts?

Ce qui est vraiment difficile dans ce milieu est vraiment de faire sa place et de s’imposer parmi les membres des médias montréalais. J’ai accumulé des expériences au fil des années, alors que je collaborais pour le Granby Express lorsque j’étais en secondaire 5 avant de travailler dès l’année suivante pour La Voix de l’Est. Ces expériences m’ont aidé à vivre dans cette jungle montréalaise. Même si ce n’est pas facile de se faire un nom, il faut être confiant et faire preuve de patience.

 

4-Quelles sont les qualités à avoir pour bien réussir dans votre domaine (rédaction/journalisme sportif)?

Selon moi, pour réussir, il faut être connaisseur. Pas seulement des Canadiens de Montréal, même si c’est la base. Il faut aussi connaître les 29 autres clubs de la LNH, en plus de connaître les autres ligues, comme par exemple la Ligue de Hockey Junior Majeur du Québec (LHJMQ). Connaître d’autres sports est aussi fortement recommande tout comme être professionnel et méticuleux.

Il est important d’avoir un bon français à l’écrit, mais aussi à l’oral. Il faut laisser la parole aux journalistes plus expérimentés en premier, par exemple lors d’un point de presse. C’est toujours intéressant aussi de les entendre raconter des histoires. Je ne sais pas si quelqu’un a invité cette règle avant moi, mais je recommanderais la règle des trois « t » : talent-travail-timing. Les contacts font foi de tout dans le milieu. Avoir une belle personnalité et être travaillant sont également des qualités à avoir.

 

5-Comment voyez-vous le futur avec votre projet d’Hockey Le Magazine ainsi qu’au niveau professionnel?

C’est certain que je veux poursuivre mon aventure avec Hockey Le Magazine, puisque l’écrit a toujours été ma force. Aussi, avec mes contrats de radio un peu partout ainsi que mes collaborations avec RDS, c’est sûr que je veux aussi toucher à d’autres sphères des communications. Personnellement, je veux continuer d’avoir des contrats dans ces domaines et mon objectif ultime serait de devenir un journaliste de référence au Québec!

 

Merci beaucoup encore une fois à Raphaël Doucet pour votre temps!

 

Crédit photos: Page Facebook Hockey Le Magazine  et compte Facebook personnel Raphaël Doucet

 

Olivier Lambert un marketeur à connaître !

Qui dit nouvelle année dit nouvelles résolutions! Comme nouveauté sur le blogue de Productions Extrême, nous avons décidé de vous faire découvrir à chaque mois des entrepreneurs d’ici œuvrant dans différents domaines à l’aide d’une entrevue.

Notre premier invité est Olivier Lambert , un marketeur québécois qui possède son propre site internet, https://www.olivierlambert.ca/. Diplômé de l’UQTR en communication en 2013, le jeune homme travaille depuis longtemps sur son projet. Il a lancé son blogue en 2012 en écrivant sur tout et rien. Un an plus tard, prenant son blogue plus au sérieux, il publia des études de cas à toutes les semaines. Puis, en 2014, il a été récompensé par le titre de meilleur blogue de l’année au pays!

Loin d’être entièrement satisfait, Olivier Lambert continue de parfaire son blogue tout en lançant de nouveaux projets, dont celui de La Trachée. Rien ne semble vouloir arrêter le marketeur originaire de la Mauricie!

Voici les propos de Olivier Lambert lors de notre entretien:

1- D’où est venu votre idée de votre site internet/blogue?

« J’ai commencé mon blogue en septembre 2012 pour entretenir ma « marque personnelle » en bloguant sur les sujets qui m’intéressent sans niche particulière. Le but était de m’assurer de pouvoir bien me placer sur le marché de l’emploi. J’étais alors à la 2e année de mon baccalauréat en communication. J’apprenais à programmer en même temps puisque je n’utilisais aucun logiciel de gestion du contenu (comme SquareSpace ou WordPress), ce qui m’a grandement aidé pour créer mon entreprise.

En 2013, j’ai commencé à prendre le blogging plus au sérieux et j’ai décidé de publier chaque semaine sur une étude de cas que j’ai réalisé avec des clients en tant que consultant marketing. C’est là que le vrai https://www.olivierlambert.ca/ a vu le jour. Un an plus tard, mon site a remporté le prix MIB du meilleur blogue marketing au Canada! Quatre mois après cet événement, j’ai transformé mon blogue en entreprise en offrant des cours sur la publicité Facebook, le marketing par courriel et la création d’un blogue profitable.

Après deux ans, j’ai aidé plus de 800 entreprises à travers mes formations et formé une communauté privée d’entrepreneurs et marketeurs de plus de 1500 membres. »

2- Quelles sont vos qualités qui vous démarquent des autres entrepreneurs présents sur le web? 

« Mon plus grand atout est que je ne suis pas uniquement un marketeur. Je suis également programmeur, designer et copywriter! Je ne maîtrise pas (encore) la création de n’importe quel type d’entreprise, mais je sais comment mettre sur pied une entreprise de service ou de médias profitable en partant de 0. Ma polyvalence me donne une perspective stratégique très différente des autres.

Pendant certains se concentrent sur « l’image » et « le branding », moi je suis en train de coder mon prochain MVP (en français, produit minimum viable). Le logo de La Tranchée m’a littéralement pris 15 secondes à faire. J’ai sorti ma tablette, j’ai écrit dans One Note et je l’ai enregistré en png. Voilà. Une tâche de faite, suivante!

Puisque j’ai une vue d’ensemble, mon égo n’est pas mélangé à une idée particulière (comme l’image que devrait avoir une entreprise ou la technologie qu’on devrait utiliser), je sais ce qui génère réellement des résultats et je priorise mon temps en conséquence. »

 

Olivier Lambert Blogue

3- Quel est le projet dont vous êtes le plus fier jusqu’à présent dans votre carrière? 

« Mon bébé est présentement La Tranchée, ma communauté en ligne. C’est le point de rencontre entre ma communauté et tout mon meilleur contenu jusqu’à présent. Il s’agit d’un forum de discussion que je gère avec Marie-Pierre Guignard, ma coéquipière dans le projet. Je m’assure que chaque question ait une bonne réponse.

Ensuite, les membres ont accès gratuitement à un portail de formation rassemblant l’essentiel du marketing web. S’ils veulent se perfectionner, ils peuvent également utiliser des crédits qu’ils gagnent via leur abonnement au forum pour se payer les formations plus spécifiques. Et si les membres veulent de l’encadrement, ils peuvent également demander à nous rencontrer en consultation individuelle pour qu’on puisse les aider avec un aspect très spécifique de leur entreprise. Comme des profs sur demande si on veut! »

4- Avez-vous d’autres projets en tête, autre que votre site internet?  Où vous voyez-vous dans 10 ans?

«Bien sûr, l’objectif est de faire grossir La Tranchée à son potentiel maximum. L’objectif? Faire de ce site web LA référence en formation pour entrepreneur au Québec. Fini les cours d’entrepreneuriat à 8 000$ donné par des gens qui n’ont jamais lancé d’entreprises. Je veux que les gens puissent avoir accès à l’information et l’encadrement nécessaire au lancement d’entreprise. De plus, ils doivent y avoir accès pour une fraction du coût prescrit par les institutions en place présentement.»

 

Merci encore une fois à Olivier Lambert pour le temps accordé et bonne chance pour la suite des choses!

 

Crédit photos : Page Facebook officiel d’Olivier Lambert

Résolutions 2017

Une autre année qui se termine très bientôt. Comme toutes les autres, il me semble qu’elle a passé drôlement vite. J’ai parfois de la difficulté à croire que je vais bientôt avoir 21 ans. Il me semble que le primaire n’est pas si loin. Au-delà des moments nostalgiques que nous fait réaliser le passage vers une autre année, il faut bien évidemment faire notre liste de résolutions! Voici les résolutions 2017 !

Mes résolutions 2017 :

Continuer de m’entraîner

Depuis ma deuxième année de cégep, j’ai réalisé à quel point c’était important de s’entraîner. Pas seulement pour ton physique, mais également pour ton mental. Je me sens tellement mieux après avoir sué que lorsque je ne fais rien de mes journées. Je souhaite vraiment continuer en 2017 sur cette voie, c’est-à-dire m’entraîner le plus souvent possible. Il est important de bien s’alimenter également, même si on peut se faire plaisir de temps en temps. Qui sait, peut-être une autre course de 10KM à l’horizon…?

résolutions 2017
Légende: Avec mon équipe de cross-country, les Inouk du Cégep de Granby, lors de la session d’automne 2014 (je suis en bas à droite)!

Devenir bilingue

On ne se le cachera pas, de nos jours, parler une seule langue nous limite beaucoup sur le marché du travail. Surtout dans le domaine des communications/marketing. De plus, comme j’aime voyage et que je souhaite travailler un peu partout dans le monde, parler l’anglais est essentiel. C’est pour cette raison que j’ai décidé de suivre mes cours en marketing cette année en anglais. Pour l’année prochaine, je compte m’inscrire au certificat en anglais. Je veux vraiment qu’à la même date l’année prochaine. Lorsque je vais écrire mon article pour mes résolutions 2018, je n’aurai pas à écrire que je souhaite devenir bilingue, car ce sera déjà le cas!

Que tout aille pour le mieux dans mes études et mon travail

J’en suis actuellement à ma deuxième année à l’Université Laval. Si tout va comme prévu, je devrais compléter mon baccalauréat à la fin de ma session d’hiver en 2018. C’est pourquoi je veux bien évidemment avoir du succès dans mes études (oui c’est cliché, mais vrai comme toujours…) et aussi à mon travail. Que ce soit pour Productions Extrême, avec les Dynamiques du Cégep de Sainte-Foy ou autre, je veux avoir du plaisir tout en apprenant!

résolutions 2017
Crédit photo: Yvan Gatien

Profiter de la vie au maximum

Ça fait «cliché», mais oui, il est toujours important de profiter à chaque jour de la présence des gens que nous aimons. Que ce soit ma famille, mon chum ou mes amis, je veux savourer mes moments passés avec eux. Il faut aussi goûter au plaisir de la vie, c’est pourquoi je souhaite voyager de nouveau cette année. Après Varadero-La Havane (Cuba),  l’Ontario (Ottawa, Toronto, Niagara Falls) et le Nouveau-Brunswick cette année en 2016, je vais partir aux États-Unis (Boston, Springfield, New York, Philadelphie et Washington) durant le temps des Fêtes (fin décembre à début janvier). C’est quand même un peu en 2017, pas vrai? Sinon, comme résolution, pourquoi pas un autre voyage en 2017 pour se gâter?

résolutions 2017
photo personelle

Vous, quelles sont vos résolutions 2017 ?

 

Bonne année 2017 en avance! 🙂

résolutions 2017

Ajouter de la valeur aux produits et services : la solution!

Vous êtes entrepreneur, vous désirez augmenter votre chiffre d’affaires ainsi que votre nombre de clients? Avez-vous pensé à ajouter de la valeur à vos produits et services ? Vous avez probablement déjà pensé à réduire vos prix. C’est la première idée qui semble logique. Cependant, ce n’est pas nécessairement la solution idéale. Les avantages de cette stratégie peuvent paraître intéressants à court terme, mais à long terme les enjeux ne sont pas exactement ce que vous souhaitez.

Réduire le prix de vente peut jouer contre vous après un certain temps. En effet, la compétition est tellement agressive que la réduction de vos prix pourrait mener directement à la réduction des prix de votre plus grand compétiteur.

«Malgré la valeur de l’accessoire, qui n’a pas besoin d’être très élevé, le client sera très content de pouvoir bénéficier d’une gratuité.»

Cette conséquence n’est évidemment pas souhaitable. Une guerre de prix n’a absolument rien de bon pour les entreprises. Les consommateurs ne seraient probablement pas en désaccord,  mais cela ne vous aiderait pas nécessairement à atteindre votre but ultime.

Ajouter de la valeur à vos produits et services

ajouter de la valeur à vos produits et services 

Votre entreprise offre majoritairement des produits, voici la solution à vos problèmes. Vous pourriez décider d’offrir à votre clientèle des produits complémentaires à l’achat d’un produit d’une certaine valeur. Par exemple, à l’achat de 100$, le client pourrait choisir parmi quelques accessoires prédéterminés qui se trouvent à la caisse. Malgré la valeur de l’accessoire qui n’a pas besoin d’être très élevé, le client sera très content de pouvoir bénéficier d’une gratuité. Vous pourriez également offrir la livraison gratuite lors d’achats sur le web, cela inciterait le client à vous choisir. L’option suivante est habituellement très appréciée par la clientèle, il s’agit d’un programme de fidélité. Vous pourriez offrir une carte qui permet d’avoir un produit gratuit à l’achat d’un nombre précis de produits. Les crèmeries utilisent majoritairement cette tactique, comme vous l’avez probablement déjà constaté, plusieurs offrent le dixième produit gratuitement. Ce qui force les clients à retourner et à racheter.

ajouter de la valeur à vos produits et services Vous vendez des services, voici quelques trucs. Vous pouvez offrir à votre clientèle des conseils gratuits. Ces conseils pourraient très bien peser dans la balance et vous permettre de vous distinguer. Vous pouvez également offrir un service clé-en-main.  Cette option peut être très intéressante pour une clientèle qui ne veut pas s’occuper de rien. Finalement, vous pourriez offrir vos services sous forme de forfaits. Cette technique permet de vendre davantage, mais surtout de rendre le service plus attirant vu la complémentarité des services offerts dans les forfaits.

Conclusion sur ajouter de la valeur à vos produits et services 

Avant de procéder aux modifications, quelques étapes doivent être effectuées. Pour pouvoir mettre en place le meilleur moyen possible afin d’ajouter de la valeur à vos produits et services, il est important de sonder votre clientèle. En vous informant sur celle-ci, vous aurez alors l’opportunité de savoir ce qu’ils veulent réellement, et ce qui a vraiment de la valeur à leurs yeux. Suite à cela, vous serez donc en mesure de prendre la meilleure décision possible pour la satisfaire et du même coup, ajouter de la valeur à vos produits et services sans diminuer le prix.

Et vous, pour quelle option avez-vous opté?

La réussite d’un cadeau promotionnel en 6 étapes faciles !

cadeau promotionnelDans la vie, il existe plusieurs façons d’obtenir ce qu’on veut.  On peut payer pour des services ou on peut décider de faire les choses nous-mêmes.  On peut également tenter de faire le plus possible avec le moins de moyens.  Pour les besoins de notre exemple actuel, prenons comme projet un cadeau promotionnel. Vous aimeriez remettre ce cadeau promotionnel à vos clients et/ou vos employés pour Noël, qui arrive d’ailleurs à grands pas. Voici comment réussir votre  cadeau promotionnel en 6 étapes faciles !

 

Dans beaucoup de cas, les entreprises en affaires sont souvent dans un mode d’économie.  Or, il est possible, dans le cas de campagnes promotionnelles, d’obtenir ce que vous voulez comme résultats sans y mettre une fortune.  Tentez le « Magic 6 » qui au fond, n’est pas très sorcier.

Voici le cadeau promotionnel en 6 étapes faciles :

 

[bctt tweet= »Toutefois, trop souvent les entreprises viennent nous rencontrer sans avoir fait cet exercice au préalable »]

 

  1. Quoi?

Au départ, il est plus qu’important de définir clairement ce que vous désirez obtenir comme cadeau promotionnel au final. quel objet ou quel genre d’objet souhaitez-vous remettre aux personnes concernées? Un objectif clair et précis a le mérite d’être énoncé, défini et sans ambiguïté pour vous ainsi que pour votre équipe de travail. Même chose pour toute personne qui touche de près ou de loin à ce projet de cadeau promotionnel pour vos clients. C’est simple à dire, mais il est primordial de passer par cette étape. La première pour un cadeau promotionnel en 6 étapes faciles !

 

  1. Quand?

Par la suite, définissez clairement une fenêtre de temps ( ou un « time frame » comme dirait les Anglais) pour atteindre votre objectif.  Dans le cas qui nous occupe, on parle d’une potentielle retombée à la suite de la remise d’un cadeau promotionnel en début d’année.  Dans la façon de le présenter, il y a moyen de faire en sorte que ce cadeau promotionnel soit une façon de relancer votre client dans un avenir rapproché, de le guider vers une promotion à venir et ainsi de suite. C’est pourquoi il ne faut pas s’y prendre trop en retard et ainsi, soit ne pas obtenir le résultat souhaité ou pire, ne pas pouvoir remettre notre cadeau à temps.

 

  1. Qui?

Cette partie est assez facile à comprendre.  Définissez clairement votre public cible pour bien réussir votre cadeau promotionnel. Est-ce pour des proches? Des clients fidèles? De nouveaux clients? Vos employés? Par la suite, demandez-vous le genre de cadeau promotionnel que ces personnes auraient besoin ou aimeraient recevoir.

 

  1. Pourquoi ce cadeau promotionnel?

 cadeau promotionnel en 6 étapes facilesVoilà malheureusement un point qui est trop souvent oublié.  Pour quelle raison exactement remettez-vous ce cadeau promotionnel aux personnes nommées ci-haut?  Il peut y avoir des raisons évidentes, comme remercier votre client, mais aussi d’autres facteurs plus discrets, comme faire connaître un nouveau produit ou service de votre entreprise à travers ce cadeau.

Ça peut aussi être pour remercier vos fidèles employés et par le fait même, faire découvrir votre entreprise ou vos articles promotionnels à leurs proches. Il pourrait s’agir également de présenter un nouveau membre de votre personnel ou développer de nouveaux marchés. Toutes les raisons sont bonnes pour faire appel à un cadeau promotionnel, mais il faut déterminer auparavant la vraie raison du « pourquoi ».

 

  1. Croire!!

Également, avant d’aller de l’avant avec votre cadeau promotionnel, soyez certains d’y croire et ce, jusqu’au bout!  Évident non? Mais il faut vraiment que vous prenez le temps (ou encore mieux, mandater votre conseiller) de trouver LE cadeau promotionnel qu’il vous faut.  Ne vous débarrassez pas de ce projet comme si c’était une corvée, car sinon, les résultats ne seront pas optimaux.  Si vous n’avez pas le temps requis pour le mener à terme, un bon conseiller en articles promotionnels et corporatifs pourra grandement vous aider à trouver réellement ce dont vous avez besoin. N’oubliez pas que dans ce contexte, il faut toujours penser aux gens qui recevront votre cadeau promotionnel.

 

  1. Comment?

Finalement, si vous remarquez bien, le «Comment» arrive en sixième place de ce fameux « Magic 6 ».  Beaucoup trop d’entreprises sautent tout de suite au numéro six sans même passer au peigne fin les cinq autres points préalablement.  Faites attention, beaucoup de pseudos professionnels de la promotion font aussi la même erreur.  D’où l’importance de bien choisir votre conseiller et bien évidemment, de répondre aux cinq questions précédentes pour choisir le cadeau promotionnel parfait!

Conclusion sur  un cadeau promotionnel en 6 étapes faciles

Pour certains, les cadeaux de Noël sont déjà magasinés.  Avant d’aller de l’avant avec une idée ou une autre, posez-vous ces questions pour atteindre vos objectifs.  Essayez cette méthode pour votre prochain cadeau promotionnel et faites-nous part de vos impressions.  Vous pourriez être surpris des résultats. Bonne chance et joyeuses fêtes à tous et à toutes!!